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À l’intérieur, cinq panneau vidéo avec écran tactile représentent la nouvelle interface en conséquence. Si la maison est vide ou si son occupant souhaite ne pas être dérangé, l’appel de porte peut également être réceptionné dans l’espace commun.

Les nouvelles formes d’habitat collectif présentées dans l’exposition imposent des exigences en matière de communication de porte différentes de celles des maisons individuelles ou des immeubles collectifs. La communication au sein de l’habitat collectif ne fait pas uniquement la distinction entre la notion « d’extérieur » et « d’intérieur ». Le seuil est hybride et requiert un concept de communication répondant aux exigences spécifiques des espaces communs.

Pour l’exposition organisée par Ilka et Andreas Ruby ainsi que par les architectes EM2N, Siedle a développé une application avec un tout nouveau design d’interface et une fonctionnalité innovante. Le prototype de moniteur haute résolution installé sur la porte est doté d’une interface utilisateur intuitive. Il a été spécialement conçu pour répondre aux besoins de cette maison intergénérationnelle collective.

Les habitants sont identifiables par leur nom et leur photo comme dans le répertoire d’un smartphone. Le visiteur peut choisir de sélectionner un espace privé ou un espace commun, ce qui est pratique dans le cas où celui-ci doit uniquement remettre quelque chose. Et naturellement, Siedle a également pensé à l’accessibilité de la maison intergénérationnelle en intégrant une touche pour les personnes en fauteuil roulant ainsi qu’une touche en braille.

À l’intérieur, cinq panneau vidéo avec écran tactile représentent la nouvelle interface en conséquence. Si la maison est vide ou si son occupant souhaite ne pas être dérangé, l’appel de porte peut également être réceptionné dans l’espace commun.

Siedle a soutenu et participé activement à l’exposition du Vitra Design Museum « Together! Die Neue Architektur der Gemeinschaft » (Together ! La nouvelle architecture de l’habitat collectif). Un système Siedle est installé dans une maison intergénérationnelle fictive avec espace commun. Ce concept de communication est une étude de produit. Siedle l’a développé spécialement à cet effet. En 2018, le Conseil du Design a récompensé cette étude par le prestigieux German Innovation Award.

Siedle a apporté son soutien à la réalisation des films, initié un débat sur le thème de "l’architecture et l’histoire orale" en collaboration avec le musée de l’architecture et lancé des invitations à plusieurs visites exclusives.

Francis Kéré est l’un des principaux représentants d’une architecture socialement engagée. Il traduit les influences culturelles de son pays d’origine, le Burkina Faso, et ses expériences en Allemagne dans une nouvelle architecture qui associe de manière cohérente des principes éthiques et esthétiques. Cela fait de lui l’un des talents les plus extraordinaires de l’architecture contemporaine et un modèle pour les générations futures.

« Je suis très heureux de collaborer à nouveau avec Siedle en tant que sponsor », déclare Andres Lepik, directeur du Musée de l’architecture. « Nos activités communes contribuent à faire connaître nos thématiques à un large public ». Siedle a promu l’exposition, initié une discussion avec Francis Kéré et Chris Dercon en collaboration avec le Musée de l’architecture et organisé plusieurs visites guidées exclusives.

Paul Schneider-Esleben compte parmi les plus importants architectes allemands du 20è siècle. À l’occasion de son 100è anniversaire, le musée de l’architecture de l’Université Technique de Munich, a consacré à ses créations une grande rétrospective présentant l’ensemble de ses diverses œuvres. Outre les projets de grande envergure tels que le building Mannesmann à Dusseldorf ou l’aéroport Cologne-Bonn, les visiteurs ont également pu découvrir des créations moins connues ainsi que des aquarelles et des designs de meubles et de bijoux.

Dans le cadre de l’exposition, le musée de l’architecture a présenté une approche innovante dans l’histoire de l’architecture : des interviews avec des témoins de l’époque et des compagnons de route de Paul Schneider-Esleben ainsi que des utilisateurs actuels de ses bâtiments présentent la personne et l’œuvre sous un jour nouveau. Les interviews filmées ont été présentées pour la première fois lors de l’exposition. Elles forment la base de la collection future du musée de l’architecture.

Le musée de l’architecture a présenté les films dans le cadre d’un débat d’experts sur le thème « Architecture et histoire orale ». Quel est le potentiel de cette approche ? Quelles nouvelles conclusions peut-elle apporter à l’histoire de l’architecture ?

C’est autour de ces questions entre autres que le débat s’est orienté entre le directeur Andres Lepik et la conservatrice Regine Heß du musée de l’architecture de l’Université Technique de Munich avec Oliver Elser, conservateur du musée de l’architecture allemand de Francfort sur le Main, et le cinéaste, Gereon Wetzel.

Siedle a apporté son soutien à la réalisation des films, initié un débat sur le thème de "l’architecture et l’histoire orale" en collaboration avec le musée de l’architecture et lancé des invitations à plusieurs visites exclusives.

Siedle a soutenu l’exposition « Radically simple » au musée de l’architecture de l’université technique de Munich. Elle a permis de donner un aperçu complet de la vie et de l’œuvre de l’un des architectes contemporains les plus intéressants.

Une première conclusion se dégage : chaque seuil est synonyme de communication. Non seulement en raison de ses équipements techniques, mais aussi par sa simple existence. Il émet de multiples signaux, il peut être accueillant ou hostile, il s’ouvre et ouvre le bâtiment ou le ferme. Il joue tous ces rôles, que nous le voulions, le planifiions et l’aménagions ou non. Nous ferions bien de choisir consciemment le langage véhiculé par une entrée.

Sur la photo : Till Boettger, discipline création et configuration de l’espace, et Peter Strobel, responsable de la communication d’entreprise chez Siedle.

Photo : David von Becker

La faculté de l’architecture de l’université Bauhaus de Weimar a consacré au thème des « zones du seuil » un séminaire dans le cursus d’études de master. Dans ce cadre, 25 futurs architectes ont étudié des questions complexes concernant le seuil :

Qu’est-ce qu’un seuil architectonique ?
Comment peut-on définir une zone de seuil ?
Quelle est la fonction de la zone de seuil en ce qui concerne la perception et l’expérience de l’architecture ?

Les étudiants ont dans un premier temps analysé des architectures réelles avant de concevoir leurs propres maquettes de zones du seuil. Siedle a été à l’origine de l’événement, a donné un aperçu du développement et de la production de systèmes pour la communication de bâtiment et s’est penché sur les projets.

Photo : David von Becker.

La zone de seuil d’Ekaterina Galinka offre un accès fictif à une salle d’exposition cubique. Des fentes dans le mur extérieur laissent pénétrer la lumière à l’intérieur de manière rythmée. Cet effet est renforcé par des rétrécissements ; par des modifications des parois intérieures de la pièce et du plafond : il en résulte un espace en forme d’escalier et d’entonnoir.

Photo : Tobias Adam

Une première conclusion se dégage : chaque seuil est synonyme de communication. Non seulement en raison de ses équipements techniques, mais aussi par sa simple existence. Il émet de multiples signaux, il peut être accueillant ou hostile, il s’ouvre et ouvre le bâtiment ou le ferme. Il joue tous ces rôles, que nous le voulions, le planifiions et l’aménagions ou non. Nous ferions bien de choisir consciemment le langage véhiculé par une entrée.

Sur la photo : Till Boettger, discipline création et configuration de l’espace, et Peter Strobel, responsable de la communication d’entreprise chez Siedle.

Photo : David von Becker

Que se passe-t-il lorsque nous entrons ou sortons d’un bâtiment ? Que ressentons-nous à ce moment-là, quel est le rôle de l’architecture, quelle est l’influence de la technologie ? Des étudiants de l’université Bauhaus de Weimar se sont penchés sur ces questions en coopération avec Siedle. Les résultats sont présentés dans le livre « Schwellenräume » (Zones de seuil).

La maquette montre l’un des projets des étudiants : le Welcomebooth (meuble de réception) de Christian Müller répond aux exigences imposées aujourd’hui en termes d’individualité, de communication et de sécurité. Photo : Tobias Adam