ARCH+ features 27 : Bungalow Germania
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Der deutsche Beitrag für die Architektur-Biennale 2014 hinterfragt Architekturen der Repräsentation. Er kombiniert den deutschen Pavillon, zuletzt umgebaut 1938 von Ernst Haiger, mit dem Bonner Kanzlerpavillon von Sep Ruf aus dem Jahr 1964. Was geschieht, wenn man die beiden politisch aufgeladenen Gebäude zusammenbringt und wie die Räumlichkeiten, aber auch die Erinnerungsräume dadurch verwischen, erläutern die Kuratoren Alexander Lehnerer und Savvas Ciriacidis in unserem Videobeitrag.
Au cœur du pouvoir de l'ancienne république de Bonn : Experts en architecture avant la reconstruction de la cheminée du chancelier dans le pavillon allemand. Ont débattu dans ARCH+ features : Philip Ursprung, modérateur, professeur en histoire de l'art et de l'architecture à l'École Polytechnique de Zurich, les deux commissaires, Alexander Lehnerer et Savvas Ciriacidis, et, entre eux, Stephan Trüby, directeur de recherche de la biennale de cette année (de gauche à droite).
Alexander Lehnerer décrit la symbiose des deux bâtiments comme étant pratiquement une expérience chimique dans laquelle les deux bâtiments ont été "réunis". Il en a résulté une sorte de machine d'association spatiale, indique Alexander Lehnerer. De nombreux visiteurs connaissent a moins l'un des pavillons. La réunion situative des deux bâtiments confirmerait certaines attentes, d'autres en seraient perturbées. La limite entre l'architecture d'exposition et l'architecture exposée s'efface.
Savvas Ciriacidis erläutert den Prozess der Annäherung: Wo ein Gebäude durch ein anderes beschrieben werden soll, muss exakt der Punkt ermittelt werden, an dem sich beide auf Augenhöhe begegnen. Im Falle der beiden Pavillons war eine der Stellgrößen die schiere Menge an Material, die aus Bonn mitgebracht werden musste, um ein Gleichgewicht herstellen zu können.
Les deux pavillons sont des bâtiments représentatifs qui, en combinaison, perdent cette fonction, indique Anh-Linh Ngo d'ARCH+. Le bungalow du chancelier, à Bonn, a toutefois transmis une image de banalité voulue. Ceci correspondait à l'esprit qui était celui des années 60 : Après la guerre et la reconstruction, il s'agissait pour d'abord pour l'Allemagne de se trouver elle-même. Le pavillon a apporté la scène parfaite pour la mise en scène médiumnique qui convient.
Toutes les photos : Xandra Linsin.
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